La crise de la Covid 19 

 

La gestion de la crise de la Covid 19  a révélé de multiples problématiques que l'on peut retrouver dans 5 rapports (celui de l'Assemblée Nationale, du Sénat, de la Mission indépendante, des collectifs citoyens, et de la Cour des comptes) :

- l'instrumentalisation de la science du fait de la disparition de toute controverse, la disparition des règles de l'expertise sanitaire et du principe du contradictoire, avec les conflits d'intérêt, de type financiers ou de type école de pensée, au sein du conseil scientifique (dont les membres sont nommés par décret, et non selon les règles de l'expertise sanitaire), une sélection partiale et orientée de la littérature scientifique comme cela a déjà été le cas dans des affaires antérieures, de nombreux biais dans la réalisation des études cliniques sur le repositionnement de molécules anciennes. On a disqualifié les partisans d'une approche alternative de la maladie en les traitant de complotistes  (on retrouve ici la dichotomie entre le bien et le mal) ou d'antivax. Cette attaque inédite contre un principe fondamental de la science a été dénoncée tant par des médecins (comme par exemple ce collectif de professionnels de santé) que par des associations de citoyens qui ont tenté d'informer, en vain, l'ensemble des parlementaires. La pensée unique (sur le plan économique) s'accompagne à présent sur le plan médical d'une pensée unique basée sur le mythe du progrès et de la technique : il n'y a point de salut en dehors des traitements innovants (des traitements sources d'immenses profits pour l'industrie pharmaceutique), en l'occurrence le Remdesivir et des vaccins basés sur une nouvelle technologie (l'ARN messager) qui jusqu'alors n'avait pas fait la preuve de son efficacité et n'avait produit aucun médicament ni vaccin. Même des vaccins classiques à virus tués ont été écartés, ce qui aurait laissé un libre choix sur le type de vaccins. Dans la crise de la Covid 19, la science a été remplacée par des dogmes et des affirmations péremptoires. Du fait de la disparition du débat contradictoire, l'espace médiatique s'est emparé de l'affaire sur la base de la loi de l'opinion de la majorité ou de la loi des fact checkers qui s'arrogent le droit d'étiqueter, de trancher, de juger et de discréditer, ouvrant la porte à de nombreux biais. L'éviction et la disparition du débat contradictoire au profit de la pensée unique et d'une « lutte contre la désinformation » (voir aussi le point n°7 de ce document) sonnent ainsi le glas de la démocratie. Comme l'écrit le philosophe Abdennour Bidar dans Démocratie en danger,  « qu'est-ce qui, alors, nous différencie encore d'une République islamique ou d'une République populaire de Chine où l'idéologie au pouvoir fait taire toute opposition ? »

- le confinement de la médecine de ville qui a été écartée de la prise en charge des malades. Des traitements potentiels utilisés depuis des décennies et connus pour leur bonne tolérance comme l'ivermectine ou la clarithromycine ont été évincés, ainsi que le renforcement immunitaire par une supplémentation en Vitamine D.  Selon les données du Système National des Données de Santé, « la consommation d’antibiotiques en secteur de ville a enregistré en 2020 une baisse additionnelle d’environ 17 % en Doses Définies Journalières (DDJ) et de 18 % en nombre de prescriptions par rapport aux niveaux attendus pour 2020 en projetant les tendances déjà à la baisse des 10 années précédentes.  Sur un nombre total de 44,4 millions de prescriptions d’antibiotiques en 2020, il y a eu 9,7 millions de prescriptions de moins que ce qui était attendu ». Par contre, le décret du 23 mars 2020 a facilité la prescription hors AMM du Rivotril, un médicament contre indiqué en cas d'insuffisance respiratoire grave, et habituellement utilisé pour sédater les malades.

- l'ampleur des pratiques frauduleuses : affaire du Lancet, études frauduleuses avec de nombreux biais, attaques contre le repositionnement de molécules anciennes, modélisations fausses, confinements et pass sanitaire imposés sans la moindre preuve scientifique, avec des conséquences sanitaires, sociales et économiques dévastatrices (pertes d'emploi, précarisation,  la France faisant partie en 2023 des pays de la zone euro dont la situation des finances publiques est la plus dégradée),  annonce d'un taux d'efficacité des vaccins ARNm qui ne correspond pas à la réalité, avec une industrie pharmaceutique qui est devenue «  hors de tout contrôle » et « qui vend des mensonges sur les médicaments »,  pratiques frauduleuses de l'industrie pharmaceutique (voir par exemple un cas de dissimulation des risques, ou encore les affaires judiciaires de Pfizer), financiarisation des Big Pharma, perte de l'éthique et corruption en matière de santé.  Tout comme il existe des médicaments efficaces, des médicaments peu efficaces, et d'autres encore qui induisent de graves effets secondaires, il y a des vaccins efficaces, des vaccins peu efficaces et des vaccins qui induisent des effets secondaires plus ou moins graves. Rappelons qu'un vaccin doit empêcher de contracter la maladie et de transmettre l'infection, tout en ayant une excellente tolérance (ce surtout lorsqu'il est administré à des personnes en bonne santé). C'est par exemple le cas du vaccin contre la fièvre jaune : une seule injection confère une protection d'au moins dix ans et une immunité stérilisante. Mais ce n'est pas le cas des vaccins ARNm contre la Covid 19 qui n'empêchent pas la transmission, et qui nécessitent des rappels répétés. La protection immédiate contre les formes symptomatiques qui n'est que modérée, entre 50 et 60 %, semble disparaître après 3 mois. Selon l'ANSM, « l’efficacité des doses de rappel diminue au cours du temps, passant de 55% entre deux et quatre mois, à 30% entre quatre et six mois puis à 22% six mois après la primo-vaccination. L'efficacité additionnelle du deuxième rappel vaccinal (4ème dose) par rapport au premier rappel (3ème dose) est estimée à 44% ». Les données britanniques montrent que les triples vaccinés ne sont pas forcément protégés des formes graves. On ne connait pas la nocivité potentielle des injections répétées, ni les risques d'auto immunité ou de maladie aggravée. Ces vaccins présentent de très nombreux effets secondaires. De même, le vaccin contre la tuberculose ne permet pas de prévenir la primo-infection, n'empêche pas la réactivation d'une infection pulmonaire latente, et il n'a pas d'impact sur la circulation du bacille tuberculeux : ces raisons ont justifié la suppression de l'obligation vaccinale pour les professionnels de santé. De plus, le virus de la Covid 19 mute beaucoup trop rapidement pour permettre aux laboratoires pharmaceutiques de proposer un vaccin qui soit adapté aux nouvelles souches. Dans un article de février 2021, le Pr Delfraissy et quelques autres membres du Comité scientifique écrivaient que les vaccins pouvaient ne pas être efficaces contre certains variants, et que la vaccination de masse risquait de provoquer la multiplication de variants plus contagieux : « La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait bien être continuellement repoussée puisque de nouveaux variants émergent ».  

- une gestion de la crise par le secret défense (que fallait-il cacher à la population ?), par la peur (prévision de 300.000 à 500.000 morts en France, des chiffres bien éloignés de la réalité), par la manipulation des chiffres avec des tests PCR mal calibrés afin d'augmenter artificiellement le nombre de cas (la recommandation de la Société Française de Microbiologie n'a pas été appliquée), avec une modification de la définition de ce qu'est un cas, là encore pour générer de la peur, par la culpabilité (« risquer de tuer papy et mamie »), par l'infantilisation, par la confusion (avec les informations contradictoires),  pour manipuler les foules (imposer une solution unique avec des injections géniques à ARNm), au lieu de tenir un discours de vérité, d'établir de la confiance et de la transparence (qui sont des composantes primordiales et indispensables à tous les niveaux du système de santé) avec en particulier un renforcement de la pharmacovigilance (mais aussi des données du SAMU). Malheureusement, comme le reconnaît le rapport de l'OPECST : « l'incitation à la vaccination a laissé peu de place à la communication sur les effets indésirables ».... « Une communication transparente et complète sur l'existence d'effets indésirables, une action vigoureuse pour encourager les professionnels de santé à déclarer des événements indésirables mais aussi un soutien adapté au système de pharmacovigilance dans son ensemble sont nécessaires pour garantir les conditions de la confiance des citoyens dans la capacité des autorités sanitaires à assurer leur sécurité ».

- la violation de la déclaration d'Helsinki et de la Convention d'Oviedo avec l'extorsion du consentement pour un vaccin à ARNm en phase 3 d'essai clinique jusqu'au 2 mai 2023, et la volonté d'une généralisation de la vaccination à l'ensemble de la population au lieu de cibler les tranches d'âge et les populations à risque

- étant donné les résultats médiocres de ces vaccins à ARNm basés sur une nouvelle technologie jusqu'alors insuffisamment éprouvée et sur des essais insuffisamment développés par les laboratoires pharmaceutiques, on peut s'interroger quant au respect du code de déontologie médicale. L'article R.4127-14 indique : « Les médecins ne doivent pas divulguer dans les milieux médicaux un procédé nouveau de diagnostic ou de traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent ». L'article R.4127-39 est similaire : « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé ». Rappelons qu'on estime qu'un vaccin contre la Covid 19 doit montrer une efficacité d'au moins 50% pour s'avérer utile.....

- la disparition d'un fonctionnement démocratique, avec l'opacité des décisions prises en secret dans un conseil de défense sanitaire,  l'opacité des contrats (cela avait déjà été le cas lors de la crise sanitaire H1N1 de 2009), des laboratoires déchargés de leurs responsabilités en cas d'effets secondaires graves (c'est à l'Etat de prendre en charge non seulement l'indemnisation de la victime mais aussi les frais de justice du fabriquant de vaccins), l'absence de déclaration des liens d'intérêts, l'interférence de cabinets privés tels que McKinsey qui a subi de multiples condamnations, et la disparition de la démocratie sanitaire

- la dégradation  du système de santé français avec la pénurie de soignants, la progression des déserts médicaux, le délabrement des hôpitaux,  l'atteinte à l'indépendance professionnelle des médecins (perte de liberté de prescrire et de communiquer). Ceci est la conséquence de l'industrialisation de la médecine et de la financiarisation des services de santé (faire de véritables essais cliniques sur le repositionnement de molécules anciennes ne présente aucun intérêt pour l'industrie pharmaceutique) et porte une atteinte majeure aux besoins de la population avec une  perte de chance pour les patients

- la déshumanisation de nos sociétés : perte de liberté avec des confinements non seulement inefficaces, mais qui de plus ont provoqué une surmortalité pour d'autres problématiques (arrêt des soins pour les autres pathologies, diminution de la prise en charge des cardiopathies ischémiques et des accidents vasculaires cérébraux, hospitalisations trop tardives), isolement des personnes âgées, augmentation des violences conjugales et de la maltraitance envers les enfants, dissolution des liens familiaux et sociaux, multiples décès dans les EHPAD de personnes âgées du fait d'un sous équipement, d'une sous médicalisation, d'un manque d'humanité avec syndrome de glissement, de négligence dans les soins de base et d'obstacles dans l'accès aux traitements d'urgence (lors de la première vague, la moitié des personnes décédées vivaient en EHPAD) ou par administration de Rivotril, répercussions majeures sur les jeunes alors qu'il s'agit d'une population très peu touchée par les formes graves de la maladie (la hausse de mortalité a concerné essentiellement les personnes de plus de 65 ans, les personnes de 80 ans et plus représentaient 60% des décès), retard de parole chez  les jeunes enfants du fait du port du masque, perte des liens affectifs, perte de sens, suicides, banalisation de la violence imposée par le pouvoir, évolution vers une société de contrôle

- un coût astronomique de 424 milliards d'euros.

Quant à l'Europe, elle porte également une lourde responsabilité :

- un manque de transparence concernant les contrats avec les laboratoires (de plus, c'est un média américain, et non européen, qui a dû saisir la justice à propos des SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne et le PDG de Pfizer) ou encore les données des laboratoires avec des essais cliniques trop courts, qui excluent très souvent les patients souffrants de plusieurs pathologies, ce qui rend encore plus problématique l'évaluation des effets indésirables retardés

- une Agence européenne du médicament qui, dans une logique de marchandisation de la santé, et du fait de sa dépendance financière, privilégie l'intérêt des firmes pharmaceutiques avec le développement de thérapies innovantes,  d'où une stratégie centrée exclusivement sur des vaccins à ARNm et le rejet de toute autre approche comme le repositionnement de molécules anciennes

- échec de la politique européenne de libre-échange (une politique imposée aux européens depuis l'Acte Unique et Maastricht), l'Europe se trouvant en dépendance de l'Inde et de la Chine pour la production de matériel médical et de médicaments, impossibilité, par pur dogmatisme, à envisager une fermeture précoce des frontières dans le but d'amortir la vague épidémique

- absence totale de coordination entre pays européens dès le début de la crise de la Covid 19

- des milliards d'euro gaspillés du fait des vaccins non utilisés et détruits

- échec de notre modèle économique avec la destruction des écosystèmes favorisant le développement des zoonoses

Au total, avec la destruction de l'Etat sous l'effet de l'hyperlibéralisme, la gestion de la crise de la Covid 19 qui a provoqué une mortalité indue et une accélération de la destruction de l'économie, une guerre en Ukraine qui aurait dû être évitée,  les citoyens ne sont plus protégés par l'action politique alors que cette dernière devrait inciter, dans un fonctionnement démocratique, à la promotion de la santé. Mais l'actuel fonctionnement étatique, qui n'a plus rien de démocratique, n'a plus pour objectif de mettre en place des mesures dans l'intérêt de la population, que ce soit sur un plan médical ou sur un plan économique. Comme le constate Pierre Rosanvallon, les élections ne sont qu' « un permis de gouverner », conduisant à une gouvernance qui se caractérise par une perte d'intégrité, « des décisions prises sans consultation, des ministres n'assumant pas leurs responsabilités, des dirigeants mentant impunément, un monde politique en vase clos sans rendre compte et une administration opaque ».

Sachant que l'Europe s'est construite depuis 1984 dans l'opacité et le mensonge, la gestion de la crise de la Covid 19 par la peur, le mensonge, la corruption et les abus de pouvoir n'a rien d'étonnant. 

Cependant, devant l'ensemble de ces faits, on ne peut pas se contenter de parler d'incompétence ou de corruption de la part des autorités nationales ou européennes. Mais du fait de  la sidération induite par la peur, d'un désintérêt personnel, d'un manque de temps, d'une préoccupation centrée sur la survie, d'une fuite dans la consommation, les plaisirs ou les distractions, d'un besoin d'être pris en charge par une autorité (depuis les parents, le corps enseignant, le corps médical jusqu'aux gouvernants), de la quête d'un homme providentiel en qui on s'en remet totalement, il est bien difficile de penser qu'un pouvoir politique puisse nuire à sa propre population de façon délibérée. Ce déni nous maintient dans l'ignorance de l'existence d'un système pathocratique et d'une réalité qui nous dirige vers un processus mortifère.

Par ailleurs, les conséquences de cette gestion sont catastrophiques, tant au niveau psychologique, social et économique (dette, inflation, augmentation de la pauvreté et des écarts de richesses, augmentation du nombre de milliardaires, niveau record des dividendes versés...). Par contre, pour l'industrie pharmaceutique, c'est l'actualisation d'un nouveau modèle économique bien plus rentable que le précédent (avec une prédiction dans cet article de 2017 pour 2020 !) puisqu'elle a obtenu, pour la première fois, la possibilité d'administration d'une thérapie génique à une large partie de la population mondiale.

Une reddition de comptes est donc nécessaire concernant la gestion de ces racines profondes, que les gouvernants aient agi, soit par incompétence, ou sous l'emprise de la corruption, en jouant sur la santé de la population, ou encore du fait d'un système pathocratique.  Il serait logique, non pas de suspendre les soignants non vaccinés, mais de sanctionner les politiques qui nous ont menés dans une telle impasse. Les politiques faisant tout pour occulter leur responsabilité,  ils cherchent des boucs émissaires pour faire croire, de façon fallacieuse, à la responsabilité des non vaccinés, et qualifient de complotiste toute personne critiquant la gestion de la crise de la Covid 19, ou d'antivax toute personne qui mentionnerait des effets secondaires graves susceptibles d'être liés aux vaccins à ARNm. Ce simple étiquetage a pour effet de faire disparaître toute opposition et tout débat contradictoire.

Il est enfin essentiel de s'attaquer aux racines profondes de la crise de la Covid 19 :

Alors que nous arrivons « au stade ultime de l'industrialisation du vivant », et du fait de la rupture de confiance entre les citoyens et les gouvernants, il devient urgent de mettre en place des institutions qui respectent les besoins des individus, un contrôle de la société civile sur l'action des gouvernements. Et pour éviter que le pouvoir politique instrumentalise l'expertise scientifique, un pôle scientifique pourrait être créé au sein du  Conseil Economique, social et environnemental (CESE) pour faire office de contre pouvoir citoyen. Ce pôle aurait pour mission de vérifier l'obligation de mention des liens d'intérêt des experts, d'assurer le respect du débat contradictoire avec une représentation égalitaire des différentes approches scientifiques, de promouvoir la science citoyenne et de favoriser le dialogue entre la société civile, les associations de patients, les parlementaires et les scientifiques. La lutte contre toute forme de corruption et une totale transparence, en présence d'éventuels déontologues comme le propose le Pr Jacques Testart, sont indispensables pour un bon fonctionnement de la science. 

Il est nécessaire de redéfinir la finalité de la construction européenne, et de réformer non seulement les institutions européennes, mais aussi le statut juridique des agences telles que l'Agence européenne du médicament (une agence particulièrement sensible aux intérêts des industriels), leur mode de financement (en 2019, 86 % des recettes de l'Agence européenne du médicament provenaient de redevances payées par l'industrie phamaceutique), voire envisager un pôle public du médicament, garant d'une véritable politique industrielle au service de la santé de tous, à l'encontre de la situation actuelle où la Commission européenne apparaît comme le cheval de Troie de l'industrie pharmaceutique (et aussi des grandes firmes semencières par sa volonté d'imposer les OGM). Il faut noter que cette problématique concerne d'autres agences. Ainsi, près de la moitié des experts de l'Agence européenne de sécurité des aliments ont des conflits d'intérêts

Cette instrumentalisation de la science par le politique marque un tournant crucial :  « la science est malade ». Une science instrumentalisée par des institutions malades dans des sociétés malades. Selon le degré de servitude des peuples ou bien notre volonté de prendre en main notre destin, nous subirons l'évolution vers une complète déshumanisation de nos sociétés, une société de contrôle et l'illusion d'une démocratie avec une gouvernance mondiale (déploiement de la face sombre de l'archétype mercure),  ou bien nous entrerons dans la troisième mutation (déploiement de l'archétype mercure dans son aspect lumineux). 


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