MORTALITÉ ET LETALITÉ POUR LA COVID 19


Selon l’INED, en 2020 en France, il y aurait eu 42.000 décès liés à la Covid 19.

Il a y eu des décès réellement causés par la Covid 19, et des décès dûs à une méconnaissance initiale des problèmes respiratoires (problème des respirateurs) et des troubles de coagulation. Mais il y a aussi une surévaluation des cas (personnes décédées d'autres pathologies avec la présence du virus) du fait du manque de fiabilité des données statistiques de Santé Publique France et d'un manque de calibrage (et donc de fiabilité) des PCR du fait de la non application de la recommandation de la Société Française de Microbiologie.

Et de plus, il y a un excès de mortalité lié : 

Il est donc difficile de connaître le chiffre exact de décès spécifiquement liés à la Covid 19 en 2020, un chiffre qui pourrait correspondre en réalité à une forte grippe. Si en France la grippe saisonnière est responsable  de 10.000 à 15.000 morts, exceptionnellement, la grippe asiatique a  provoqué 25.000 morts tandis que la grippe de Hong Kong a provoqué  30.000 morts. Encore faut-il préciser que le taux de létalité de la Covid 19 est très faible avant 60 ans, et que les 65 ans et plus ne représentaient que 13% de la population en 1969, contre 20% en 2020. Compte tenu de ce vieillissement de la population, en 2020, une forte grippe telle que celle de l'hiver 1969/1970 aurait fait bien plus que 30.000 morts (voir l'évolution de la mortalité entre 1946 et 2020 rapportée à la population de 2020).

La stratégie politique qui a été suivie a donc été délétère : « Les pays qui ont obtenu les meilleurs résultats face à l’épidémie, ont adopté une attitude exactement opposée [à celle suivie en France depuis un an maintenant] : prévention (spécialement protection spécifique pour les personnes à risques), dépistage systématique des personnes les plus exposées au virus (particulièrement du personnel soignant), mise à l’écart des malades et soins précoces (souvent avec des traitements comparables à ceux interdits en France). Ces pays ont fait confiance au corps médical et aux citoyens. Ils se sont bien gardés de mettre entre parenthèse les libertés publiques et ils n’ont pas plongé leurs économies et leurs assurances sociales dans une crise sans précédent ».

On peut comparer la mortalité ponctuelle liée à de forts épisodes viraux (1957, 1969, 2020) avec la mortalité récurrente liée aux maladies de civilisation par cancer et maladie cardio-vasculaire : on déplore chaque année environ 300.000 morts. Non seulement la France ne s'est jamais engagée dans  une politique pour la promotion de la santé, pire encore, le gouvernement a choisi le déremboursement de la prise en charge en urgence des accidents vasculaires cérébraux. Pendant ce temps, des laboratoires engrangent des bénéfices faramineux avec l'explosion des prix des médicaments pour lutter contre le cancer, malgré des résultats marginaux en terme d'efficacité. On peut aussi mentionner 30.000 à 40.000 morts chaque année à la suite d'erreurs médicales évitables, qu'elles soient d'origine médicamenteuse, liées à des fautes de pratiques, ou à des infections contractées à l'hôpital.  

Enfin, l'Insee note en 2022 une surmortalité plus élevée qu'en 2020 et 2021, liée à d'autres causes que la Covid 19. Outre les reports d'opération, des épisodes de grippe ou de fortes chaleurs, il reste à savoir si la vaccination Covid peut également être en cause, puisque des décès sont signalés dans les bases de données sur les effets secondaires et ils concernent également les populations jeunes.

C'est d'ailleurs la conclusion de cet article qui relève également en Allemagne une augmentation significative de la surmortalité à partir d'avril 2021 alors que le début de la campagne de vaccination aurait dû se traduire par un déficit de mortalité. « La vague de mortalité au tournant de l'année 2020-2021 est caractérisée par une forte dépendance à l'âge, qui suit le risque dépendant de l'âge de COVID-19 : la surmortalité est plus élevée chez les personnes âgées et est complètement absente dans les groupes d'âge inférieurs à 30 ans. Ce schéma change considérablement à partir d'avril 2021, au moment où de plus en plus de personnes ont été vaccinées. Soudain, on observe une surmortalité qui ne dépend plus de l'âge et qui est même observée dans les groupes d'âge jeunes. Cela va à l'encontre de la possibilité que le COVID-19 soit la cause sous-jacente. En outre, on observe que dans les groupes d'âge plus jeunes, où la vaccination a commencé plus tard, la surmortalité commence également plus tard.......Dans l'ensemble, on pourrait s'attendre à ce que la vaccination d'une grande partie de la population réduise la surmortalité. C'est le contraire qui a été observé : la surmortalité et le nombre de mortinaissances ont augmenté avec l'augmentation du nombre de vaccinations. Dans toutes les tranches d'âge inférieures à 80 ans, la surmortalité était plus élevée au cours de la deuxième année et, en particulier, beaucoup plus élevée au cours de la troisième année de la pandémie, lorsqu'une grande partie de la population a été vaccinée. Ces observations sont surprenantes et il est vivement recommandé de mener des enquêtes plus approfondies dans différents domaines scientifiques afin d'exclure que ces signaux de sécurité soient dus à l'existence d'effets secondaires inconnus des vaccins COVID-19 ».

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